Mieux vivre avec un livre »    

CERCLE DE LECTURE DU MARDI 15 OCTOBRE 2024 

  ROMANS 

ALMODOVAR Pedro « Le Dernier rêve », Ed Flammarion 08/24, 236  p, 21,00 € (Gilles KRIKORIAN). Recueil de 12 récits qui croise de  manière un peu confuse l’écriture, la filmographie et l’existence de Pedro  Almodovar. Ces nouvelles n’ont pas de lien entre elles. Les thèmes abordés  sont ceux que le metteur en scène a déjà évoqués dans ces films comme  l’enfance, les années d’école chez les curés, sa jeunesse madrilène, la  douleur, la movida et bien sûr sa mère. À réserver aux fans du cinéaste.  Niveau 1. 

ASTOLFI Christian « L’œil de la perdrix » Ed. Le bruit du monde,  228 p, 21 € (Marie-Danielle CHAMBOST) L’amitié entre Rose, corse et  Farida, algérienne ; toutes les deux immigrantes échouées à Toulon. Leur  énergie pour s’émanciper, sur fond de guerre d’Algérie. Lecture aisée et  éclairante. 

BEAUCHEMIN Jean-François « Le Vent léger » Cl Charbo, Ed.  Québec Amérique, L.A, Français (Canada), Juin 24, 183 pages, 18  euros. L’annonce de la mort prochaine de la mère, dans cette ferme du  Québec , n’entrave pas la vie de la famille car les six enfants ont appris à  aimer , à s’émerveiller de tout et à comprendre que la vie est fragile. Joli  petit roman. Niveau 1 

BOUILLIER Grégoire « Le Syndrome de l’Orangerie » Cl Charbo Flammarion, Août 24, 346 p, 22 euros. Pourquoi, devant les huit  panneaux des nymphéas de Monet, le narrateur ne voit-il que mort et deuil  ? Une enquête longue et érudite l’amène à penser que ces peintures  rappellent le deuil de Camille, première épouse du peintre, morte en 1879  à 32 ans d’un cancer de l’utérus et qu’il peignit sur son lit de mort dans les  verts et bleus qu’on retrouve dans les nymphéas. Ceci n’est que le fil narratif  d’un roman tourmenté, labyrinthique, plein de digressions, d’élucubrations  et d’allusions à des deuils personnels. Il faut aimer beaucoup la peinture  et les choses alambiquées pour trouver goût à ce roman. Niv.2 Sélection Renaudot 

CAMILLERI Andrea « La Méthode sicilienne » Ed. Fleuve noir, trad.  de l’italien (sicilien) par Serge Quadruppani, 281 p (Marc  PERRUCHON) Toujours aussi savoureux de suivre le commissaire  Montalbano, cet amoureux de la Sicile, de sa cuisine traditionnelle mais qui  ne se ferme pas les yeux sur la réalité sociale de cette île. En proie à un doute existentiel du à son âge, il va, comme d’habitude, mener à bien une  enquête dans le domaine du théâtre où les protagonistes flirtent entre art  et réalité. Si l’enquête en elle-même n’a rien d’original, la truculence  des personnages et le style toujours alerte de l’auteur font de ce  roman un agréable moment de lecture. Niveau 1  

CHOPLIN Antoine « La Barque de Masao – Buchet-Chastel 202p.  19,50€ (Renée COUDERT) Ce soir-là, au sortir de l’usine où il est ouvrier,  sur l’ile de Naochima, Masao trouve sa fille Harumi, qu’il n’a pas vue depuis  plus de 10 ans. Architecte, elle travaille à la construction d’un musée très  particulier sur l’ile d’à côté. Échanges affectueux et très pudiques, qui nous  racontent le passé de Masao, sa rencontre avec Kazue, la mère d’Harumi,  femme étrange, artiste, très indépendante, assez folle, disparue  tragiquement, son travail de gardien de phare, à l’époque, qui l’empêche  de garder sa fille avec lui, elle sera élevée par ses grands-parents  maternels, sa façon de créer lui aussi quelque chose , une superbe barque  qu’il a entièrement construite et ornée de ses mains qui lui permet  d’affronter l’océan et qui lui rend sa fierté. Récit plein d’émotion  contenue, de tendresse, évocation d’un Japon sans doute un peu  rêvé, descriptions de mer et de lumières changeantes et  séduisantes, personnages originaux mais une certaine monotonie  dans le rythme un peu ennuyeuse. Sélection Renaudot, Fémina. 

CONNELLY, Michael- « Sans l’ombre d’un doute » Calmann-Lévy  Noir, trad. de l’américain par Robert PEPIN, 9/2024, 380p, 22,90€. Lecteur Annette FAVIER. Henry BOSCH vieillissant, son demi-frère prend  le relais pour défendre avec son aide une femme injustement condamnée  pour meurtre. Le récit vaut surtout par la description très réaliste des  arcanes de la Justice américaine, sans oublier une enquête utilisant tous les  moyens d’investigation modernes. Les fans de CONNELLY  apprécieront ! Les autres peut-être ? 

CRAVENS Claudia « L’affranchie », trad. de l’anglais (États-Unis)  par Carine Chichereau, Les Escales, 08/24, 346 p., 23 € (Barbara  MARTINEC) Un premier roman pas très abouti. L’idée pourtant était bonne,  originale : un western où les premiers rôles sont joués par les femmes ! La  première partie est trop lente : Bridget y décrit son périple à travers la  prairie. Les choses s’enchaînent une fois qu’elle se met à travailler dans un  bordel. Maladroite et naïve, Bridget a tout à apprendre de la vie. Le shérif  de la petite ville tombe amoureux d’elle – or, elle commence peu à peu à  se connaître et comprend qu’elle préfère les femmes ! En refusant de  l’épouser, elle met en danger tout son entourage. C’est juste vers la fin  que ça devient intéressant : les prostituées décident de prendre leur  vengeance et jouent aux cowboys ! Niveau 1. 

DESBIOLLES Maryline « L’Agrafe » S.Wespieser, 8/2024,  145p (Céline DOBBELS) Maryline Desbiolles vit à Nice. Elle a écrit de  nombreux romans. A reçu le prix Fémina pour Anchise en 1999. Emma est  belle, rebelle à tout sauf au vent : « On ne voit qu’elle. On l’a vue si souvent  courir par ces travers que d’abord on la voit courir quand bien même c’est  impossible ». Elle vit en famille dans l’arrière-pays niçois. Et un jour, le  drame : le chien du père de son meilleur ami l’agresse. Fracture ouverte de  jambe avec infection. Des mois d’hospitalisation, de rééducation, de lutte. Mais Emma est hantée par la phrase prononcée par le propriétaire du  chien : « mon chien n’aime pas les Arabes ». Dès qu’elle le pourra, Emma  cherchera et trouvera les origines de sa famille maternelle. Ce sont des  Harkis. Et elle arrivera à assimiler cet héritage en s’éloignant de son  village natal. 

EL ASWANY, Alaa – « Au soir d’Alexandrie » Ed Actes sud- 09/24- 345p-23,50 euros. Lecteur Annette FAVIER. À Alexandrie, au moment  où NASSER prend les pleins pouvoirs, une bande d’amis se retrouve tous  les soirs dans un bar sur la corniche. Tous différents, une libraire française  qui a pu rester, et des Égyptiens très évolués. Tous discutent, divisés quant  au régime politique. Un livre très intéressant sur cette période de luttes  intestines, de méfiance à tous les échelons. L’auteur excelle dans ses  descriptions de ses personnages. À noter qu’il vit toujours à  Alexandrie, dentiste et écrivain !! 

FEREY Caryl « Magali ». Éditions Robert Laffont, 2024, 175pages, 19euros. (Magali ROIG). Apprenant le féminicide dont est victime Magali  Blandin dans la région de Rennes en Bretagne en 2021, Caryl Férey décide  de se rendre dans son village natal où a eu lieu le crime pour à la fois  évoquer son enfance dans les années 70-80 et enquêter sur ce  fait divers. Le 11 février 2021, en plein second confinement, Magali  Blandin, séparée de son mari, en conflit avec ce dernier, disparaît. La  police se saisit de l ’affaire, une enquête est ouverte, des gens sont  interrogés, des fouilles organisées. A la faveur d’écoutes téléphoniques, les  enquêteurs apprennent que Jérôme Gaillard, le mari, a passé un contrat  avec des Géorgiens pour assassiner sa femme mais ces derniers se  retournant contre lui le font chanter ! Dès lors Gaillard devient le suspect  numéro un et le ridicule le dispute au tragique. Après 20 ans de mariage et  4 enfants, Magali Blandin en a eu assez de la violence de son mari et de ses  infidélités, assez d ’assumer seule la vie du ménage. Gaillard arrêté,  l’enquête prouve l’implication de ses propres parents dans la mort de leur  belle-fille ! Marqués par le suicide d’un premier fils à la suite d ’un chagrin  d’amour, ils décident de sauver le second par tous les moyens. Mais il n’y  aura pas de procès, Jérôme Gaillard se suicide en prison et ses parents mis  en examen pour complicité, après une période de détention préventive, font se même chez eux ! Dans ce roman au style narratif, à l’écriture simple,  sèche avec des pics humoristiques (les surnoms affublés à certains  personnages), l ’auteur constate que son petit village accueillant, Montfort  sur Meu, s’est transformé en une cité dortoir anonyme où les gens ne se  connaissent plus, ne se fréquentent plus ; l’aménagement du territoire a  transformé les lieux et les réseaux sociaux les comportements humains. De  ce fait, l’enquête de Férey s’avère laborieuse, ils ne peuvent entrer en  contact avec les enquêteurs, personne ne connaissait Magali Blandin à  Montfort…Pour ma part connaissant assez bien l ’affaire, je suis restée sur  ma faim ! Je n’ai pas appris grand-chose, de plus une polémique est née  entre Férey et la famille Blandin pas avertie du projet de l’auteur qui pour  certains n’est qu’un prétexte opportuniste. Néanmoins bon roman pour  toute bibliothèque. À lire. 

GUENE Faïza « Kiffe kiffe hier ? » Fayard, 8/2024, 258p, 20,90€  (Milène THONY) 20 ans après son Kiffe kiffe demain, l’auteur fait le bilan.  Doria est lucide : Comme ma mère je me retrouve à devoir élever mon  enfant sans mari. J’ai beaucoup de mal à dire le mot persévérance. J’ai  tendance à entendre perverse errance. Après le départ de mon père qui ne  s’est jamais intéressé à moi, j’ai été en échec scolaire. A 35 ans, elle est  coiffeuse à Bondy en Seine Saint-Denis. Mais on oublie de comptabiliser ses  heures sup. Elle se retrouve au chômage. Doria se marie avec Steve, beau  jurassien, qui finira par la tromper. Ils se séparent. Faut-il regretter le  passé ? Était-ce mieux avant ? Vous vous rappelez qu’un président a dit  qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver un emploi ? A Bondy, il n’y a  que des points de vente de drogue. Doria suit une formation pour être agent  d’escale. Merci le mécénat de Pôle Emploi et tout ce que la France nous  offre pour nous faire sortir du gouffre dans lequel elle nous a elle-même  plongés. C’est piquant et facétieux, et plein d’humour grinçant. Une  réussite. Niveau 1. 

GHENIM, Amira- « Le Désastre de la maison des notables »- Ed Ph  Rey-08/24-25 €- Lecteur Annette FAVIER. TUNIS 1935. Dans un pays  en pleine ébullition politique, se croisent le destin de deux familles  éminentes bourgeoises dont les opinions sont différentes. Le début semble  prometteur mais le nombre de personnages rend la suite très difficile à  suivre. C’est un roman certes ambitieux mais le lecteur se perd vite. Je n’ai  pu suivre l’auteur d’autant plus que le climat politique de l’époque  est fort peu évoqué. Dommage ! Sélection Médicis étranger. 

HILL Nathan « Bien-être » Du Monde Entier chez Gallimard 688  pages, 26€ (Josette Salvi) Dans les années 1990 à Chicago, la rencontre  improbable d’Elizabeth étudiante en psychologie et de Jack photographe  rebelle… et pourtant c’est le coup de foudre et la promesse d’une vie de  bonheur. Nous les retrouvons 20 ans après, en pleine réflexion sur leur couple et leur avenir. Elizabeth culpabilise beaucoup avec son fils Toby  véritable tyran et sur sa vie professionnelle. Elle dirige la clinique du Bien Être qui fournit uniquement des placebos pour tout soigner y compris le  manque d’amour. Lui n’a jamais percé comme photographe et s’ennuie dans  son métier de professeur. L’acquisition d’un appartement va cristalliser  toutes leurs différences… Comme le dit Nathan Hill, il adore lors de  l’écriture d’un livre « plonger dans tous les sujets qui le  déconcertent, l’amusent ». Cela donne de belles réflexions sur les  placebos, la parentalité, l’éducation, les réseaux sociaux. C’est donc un livre dense, parfois drôle qui illustre bien notre mode de vie  actuel. NIVEAU 1 

JÉSUPRET Agnès « Les os noirs », Liana Levi, 08/24, 189 p., 19 €  (Barbara MARTINEC) C’est dans un EHPAD que l’auteure recueille  l’histoire de vie de Clara, « issue d’une famille d’immigrés siciliens, dans  une Tunisie sous protectorat français, avec un père italien francisé et une  grand-mère sympathisante fasciste ». Les souvenirs de Clara et  l’exploration de l’auteure portent sur la seconde guerre, dénonciations et  (dés)amour. L’auteure deviendra biographe des gens anonymes, et dans ce  court roman sa mission est tout à fait réussie : c’est romanesque à  souhait et agréable à lire. Niveau 1. À acheter. 

KAMALI, Marjan- « Un thé à Téhéran » – Ed Hauteville – 08/24-415  P- 19,95€ Lecteur Annette FAVIER. L’ouvrage est en 3 chapitres  distincts, le premier évoque une famille iranienne contrainte de quitter leur  patrie clandestinement, le joug des mollahs devenant préoccupant. Parents,  enfants, s’habituent à NEW YORK, où ils ont échoué, mais MINA,  personnage principal du livre, bien qu’étudiant dans une école de commerce  et semblant parfaitement intégrée, rêve de retourner dans son pays. Sa  mère, elle, rêve de la marier dans un mariage arrangé ! En seconde partie  elle évoque la vie d’avant et ses coutumes, et aussi pourquoi les voilà tous  dans des emplois subalternes maintenant. En troisième partie, la mère et  la fille retournent pour quelques jours à Téhéran malgré les dangers que  représente ce voyage. La famille, les amis, tout est décrit de façon vivante  et colorée. Mais un peu trop de descriptions justement tout le long  de l’ouvrage mais qui se lit très facilement, l’auteur ayant eu la  gentillesse par contre de ne pas abuser du nombre de ses  personnages ! 

LOUBRY Jérôme « L’île », Calmann Lévy, 08/24, 400 p., 21,90 €  (Barbara MARTINEC) Un thriller qui a voulu entourer l’île de Porquerolles  d’une aura funeste, sans y réussir… Tous les ans un groupe de jeunes  passent leurs vacances d’été dans un manoir de l’île, entourés de musique,  un vieux chêne, joints et alcool. Or, depuis la cave du manoir guettent des  spectres du passé, et Diane, la fille la plus sensible du groupe qui savait  écouter l’île et lui parler, trouvera la mort. Cinq ans après, une nuit de  tempête apparaîtra un cadavre ressemblant à Diane… Écriture  maladroite, on n’est pas embarqués. Niveau 1. 

MARTINEZ Carole « Dors de ton sommeil de brute » Cl Charbo.  Gallimard, Août 24, 396 p, 22 euros. La nuit, tous les enfants du monde  crient dans leur rêve et ce cri déchaine des catastrophes sur toute la  planète. C’est la terre qui se venge de tous les outrages que les hommes  lui font subir ! La petite Sarah que sa mère cache en Camargue pour  échapper à la violence paternelle qui semble être l’enfant origine ;  convergent vers elle un père repenti, un chasseur malfaisant et une  chamane amérindienne. Roman original, encombré de théories sur le  sommeil. Niveau 2 

MOLA, Carmen- « L’Année du cochon » – 09/24- 344p- 22,90€.  Lecteur Annette FAVIER. Les policiers de la « BAC » Madrilène ont fort à  faire pour retrouver une de leurs collègues, séquestrée par une bande  d’éleveurs de porcs un rien sadiques. Personnages stéréotypés, intrigue  compliquée et pleine de détails sordides. On comprend que les auteurs (ils  sont trois) se sont mis à plusieurs pour écrire un tel ouvrage. Lecteurs 

sensibles s’abstenir, les autres apprécieront peut-être ??…. 

NESBO Jo « Le Téléphone carnivore » Traduit du Norvégien par  Céline Romand-Monnier. 275 pages. Gallimard série noire. Juillet  2024. (Céline DOBBELS). Jo Nesbo, écrivain, musicien (groupe pop),  scénariste. Écrivain de roman policier et de littérature enfance et jeunesse.  A été publié dans plus de 50 langues. A reçu de nombreux prix littéraires. Richard, 14 ans, mal dans sa peau, est recueilli par un oncle et une tante,  dans une petite ville, après le décès de ses parents. Il s’y ennuie, a très peu  d’amis. Un des rares, Tom est bègue, moqué de tous. Un jour, par jeu bête  et méchant, dans une cabine téléphonique, il propose à Tom de faire une  blague : il choisit au hasard dans l’annuaire un nom. Tom doit appeler et  dire « bonjour, je suis le diable et je t’invite en enfer parce que c’est là  qu’est ta place ». Commence alors un roman rempli d’horreur, de  fantastique, d’angoisse, de peurs, de rebondissements en tout genre. 

Roman efficace écrit par un maître du genre qui, malgré les horreurs, se lit  très facilement. À acheter par les bibliothèques qui ont le lectorat  appréciant Jo Nesbo et la littérature fantastique pour adultes. 

NEWMAN Sandra « Julia » Cl Charbo. Robert Laffont Anglais (USA),  Août 24, 396 p, 22,50 euros. 1 : L’univers d’Orwell et son œuvre majeure  « 1984 » (publié en 1948) vous sont familiers. Vous pouvez vous amuser à  comparer page à page les deux livres (il vous faudra un bon mois) 2 : vous  avez lu un jour 1984, vous l’avez un peu oublié, vous n’apprendrez pas  grand-chose et vous allez vous ennuyer… 3 : vous n’avez jamais lu 1984,  le monde de Big Brother vous est inconnu, vous allez être perdue de toute  façon. Je trouve qu’il faut être gonflée pour se mesurer à Orwell !  Niveau 2

 PASCAL Camille « La Reine du Labyrinthe », Ed Laffont 09/24, 421  p, 22,50 € (Gilles KRIKORIAN). Ce roman historique revisite la célèbre  affaire du collier de la reine Marie-Antoinette épouse du roi Louis XVI. C’est  avec de petites anecdotes drôles, inédites et authentiques que l’auteur nous  entraîne dans l’Histoire avec un grand H de ce scandale d’État. Une  écriture précise, délicate enrichie de termes relatif au vocabulaire  du XVIIIe siècle. Niveau 1. 

RECIT  

LE GALL Pauline « Le Petit chat et moi » Philippe Rey, 9/2024,19€  (Dolène HARDY) Un récit qui raconte l’attachement que l’on peut éprouver  pour nos petits compagnons les chats et la douleur de les perdre car ils nous  apportent tellement de joies. Ce récit plein de douceur est très touchant par  son écriture et sa poésie. J’ai un chat que j’adore et je ne peux  qu’adhérer à ce récit. Bon style.

 

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